#Poésies nouveau recueil Errances de Rémi dit Pilatom
Recueil et remise de 500 euros à la ligue contre le cancer d'Indre et Loire représentée par Monsieur Blanchard son président
Bonjour,
Noël approche ...
Un cadeau sympa ...
Un geste pour une cause...
Voici un extrait (Vieux couple) de mon second recueil "Errances" dont les bénéfices seront reversés comme le précédent à une association caritative de lutte contre le cancer (actuellement en cours de finalisation)
Des informations précises seront fournies au fur et à mesure de l'avancement et de la concrétisation du partenariat.
500 euros ont été versés à la ligue départementale de lutte contre le cancer d'Indre et Loire lors de la vente du premier recueil Eclats de Vair toujours disponible (voir photo jointe)
Il n'est pas question pour moi de faire un quelconque bénéfice. Ma plus grande richesse étant d'écrire et d'essayer de plaire aux lecteurs (7700 sur le blog)
Le prix de vente est de 12 euros chacun ou 22 euros les 2 exemplaires (port en sus)
Eclats de Vair : 12 et 4,80 soit 16,80 euros
Errances : 12 et 3,20 soit 15,20 euros
Les 2 recueils : 22 et 4,80 soit 26, 80 euros
Le second recueil est composé de 50 poésies, une nouvelle, et une page d'haïkus *
Merci pour votre générosité. Les résultats seront communiqués par des documents certifiés.
*2 premiers prix 2018 d'Arts et Poésies de Touraine 2018 dont la nouvelle et l'autre pour le blues du bayou poésie en vers libres figurent dans le second recueil.
Contact : rémicasse1948@gmail.com
ou Messenger Facebook : Pilatom Les poésies du Rémi
Vieux couple
Elle est seule, se parle sans savoir
Le chat s'en moque, le ventre appelle
Il en a l'habitude, il connait
Sa musique redondante, il s'en fout
Locataire à vie du vieux fauteuil
Aux bords éculés, le matou est roi
Il n'en descendra que pour la pitance
Les souris n'étant point son festin
Les caresses sont rares entre vieux
On fait ce qu'il faut, sans trop pour autant
Les habitudes du matin, midi
Et le soir où l'on ne se dit rien
Oh elle s'adresserait bien en silence
À son poilu sur la photo jaunie
Moustachu trônant avec la poussière
De l'antique cheminée au noir de suie
Mais il ne lui a jamais répondu
Perdu dans l’atrocité des tranchées
Cela valait une jolie médaille
Le prix à payer d’un jeune conscrit
La bûche dans l'âtre se sent bien seule
A crépiter donnant un peu de vie
Dans l'unique pièce de la bicoque
La seule à faire des étincelles